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Plainte pénale

Formulaire à signer

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Vaccination obligatoire :
Les 1 000 premières plaintes pénales ont été transmises le mercredi 21 février 2018 au procureur de la République de Paris par Me Serge Lewisch, du barreau de Paris

Le gouvernement français actuel a fait voter le 4 décembre 2017 une loi imposant à nos enfants l’inoculation obligatoire de très nombreux vaccins, dès l’âge de 8 semaines et avant 18 mois.

Cette loi devrait avoir pour conséquence immédiate la production sans délai de vaccins non dangereux pour la santé des nourrissons par les laboratoires et leur mise à disposition dans les pharmacies.

Ce n’est pas le cas aujourd’hui.

On nous affirme qu’il y aurait 11 vaccins obligatoires.

En réalité, comme il est démontré dans la plainte pénale jointe en copie, il s’agit de 11 maladies mais de 73 vaccins injectés dans le corps des enfants entre 8 semaines et 18 mois dont la plupart contiennent des métaux lourds neurotoxiques, comme de l’aluminium et du mercure ainsi que d’autres substances, comme le formol, aux effets toxiques, voire mortels (21 vaccins injectés à trois reprises auxquels il faut ajouter 10 autres vaccins) !

Rappelons qu’en septembre 2014 le très officiel « Comité technique de la vaccination » recommandait l’abandon pur et simple de la vaccination obligatoire pour cause d’anachronisme médical.

Les vaccins seraient désormais sûrs et sans danger…

Ce n’est pas ce que pense la justice philippine qui a engagé des poursuites et qui compte depuis décembre 2017 les enfants décédés après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec des vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur !

L’histoire récente nous démontre qu’il ne faut absolument pas faire confiance aux discours « officiels » rassurants en matière de santé. Rappelons-nous des affaires de l’amiante ou du Mediator®.
Des « scientifiques » en place, des « journalistes santé » des responsables politiques et les représentants du lobby de l’amiante ou du lobby pharmaceutique affirmaient la main sur le cœur :

« L’amiante ? Cela n’a jamais déclenché le moindre cancer. » (On attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années.)
« Le Mediator® ? Jamais fait de mal à personne. » (Les « experts » officiels prévoient 1 800 morts.)

Les laboratoires pharmaceutiques et leurs «experts», qui ne peuvent nier l’évidence des effets secondaires des vaccins puisque certains figurent même sur leur notice, allèguent un prétendu rapport « bénéfice-risque » qui leur serait tout de même favorable.
Mais il faudrait savoir exactement ce que recouvrent ces mots en matière de santé lorsque, après des vaccinations infantiles de masse, des enfants meurent.

Pour ne prendre qu’un seul exemple, en France, après plus de vingt ans de procédure (!), l’État (l’Oniam, donc nos impôts, et non les laboratoires qui vendent ces vaccins et engrangent des bénéfices mirobolants) a été condamné le 22 décembre 2017 par la cour administrative de Nantes à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale ayant développé une maladie neurologique à la suite de sa vaccination contre l’hépatite B.

Lors de procédures antérieures, le Conseil d’État avait estimé le 11 mai 2016 que « le lien de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B subie par Mme L. dans le cadre de l’obligation vaccinale

liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont elle souffre doit être regardé comme établi et de nature à ouvrir droit à réparation à son profit au titre de la solidarité nationale ».

Ajoutons que l’on voit mal comment le vaccin contre l’hépatite B, qui fait partie des vaccins obligatoires, pourrait présenter le moindre bénéfice pour les nourrissons puisque l’hépatite B se transmet par voie sexuelle ou partage de seringue non stérilisée (ce qui était un des principaux vecteurs de contamination dans les hôpitaux jusque dans les années 1985, et ce qui l’est encore aujourd’hui avec la contamination intraveineuse liée aux injections de drogues par les toxicomanes qui restent, à ce jour, et en réalité, les seuls « groupes à risque »).

Par ailleurs, son efficacité officielle ne dépasse pas au maximum quinze ans et souvent moins en fonction des particularismes physiologiques individuels.

Ce n’est pas le principe de la vaccination que remet en cause notre plainte pénale, mais :
– les substances utilisées pour fabriquer ces « vaccins », en particulier les adjuvants à base d’aluminium, ou des substances chimiques comme le formol, qui sont potentiellement mortelles ou en tout cas susceptibles de provoquer de graves maladies neurologiques ;
– la « pertinence » physiologique de vacciner des nourrissons dès 8 semaines ;
– le remplacement du principe de précaution par celui du « bénéfice-risque » au service des laboratoires : augmentation maximum de leurs bénéfices et risque nul puisque, en cas d’effets secondaires, y compris dramatiques, c’est l’État (Oniam), c’est-à-dire le contribuable, qui indemnise les victimes (si elles sont encore vivantes après des années de procédure !) ;
– la vaccination de masse et l’absence la plus élémentaire d’évaluation des risques pour chaque nourrisson pris individuellement. Par exemple, certains nourrissons sont en effet allergiques à toute vaccination alors qu’il n’est pas prévu d’examen systématique des allergies éventuelles.

Et, enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits d’êtres humains libres d’être responsables de nos corps face à la dictature des laboratoires pharmaceutiques qui se met en place et qui viole l’un de nos droits fondamentaux d’être humain : « Le libre consentement éclairé ».
Rappelons que « le libre consentement éclairé » est un principe médical éthique universel érigé en norme juridique en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains.

Au Canada et dans la plupart des États des États-Unis, afin de respecter ce droit humain fondamental, chaque citoyen peut s’opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion !

Il est donc très probable qu’une catastrophe sanitaire se prépare, avec des effets secondaires gravissimes, voire des décès, chez des enfants en bas âge, en relation avec cette vaccination obligatoire groupée de vaccins dangereux qu’aucun risque épidémique et aucune donnée scientifique n’ont justifiée à ce jour.

Nous avons décidé de résister.

Nous vous joignons la copie de cette plainte. Bien à vous et très amicalement.

Sophie Guillot, porte-parole du collectif « Ensemble pour une vaccination libre » – contact@epvl.eu Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé » – lefevre@gcpww.org